Hippotese, Le cheval de Travail

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Mot-clé - Jérémy Fady

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samedi 9 mars 2019

L'autonomie sur la ferme en Traction Animale par Jeremy fady (Interview Le Dauphiné Libéré)

Lors de la visite du Dauphiné Libéré à la ferme de Jérémy Fady, en Nord Isère, à Doissin, le 23 février 2019, Guillaume Drevet, le journaliste, avait fait un interview en vidéo.

La voici donc (merci à lui et au Dauphiné Libéré).

Jérémy Fady nous expose sa vision de l'autonomie sur sa ferme en traction animale...

samedi 2 mars 2019

Spécial Innovation : Traction Animale, Agriculture Bio, Circuits courts et Entraide... Les clés du succés...

Dans le cadre du Salon de l'Agriculture, les journalistes, en région, vont à la rencontre des agriculteurs innovants...

C'est au tour de Jérémy Fady (membre actif du CA d'Hippotese, chargé en particulier des relations avec l'Atelier-Paysan) d'être interviewer par le Dauphiné Libéré (journal local qui couvre toute la région Rhône-Alpes)...

Il est maraîcher bio, en Nord-Isère, en Traction Animale, et membre fondateur du marché paysan local et collectif "Atout Bout d'Champ"

vendredi 22 septembre 2017

PDF de la Conférence : Conduite d’une exploitation maraîchère avec la Traction Animale (présentée à Tec&Bio, le 21 sept 2017)

Lors du salon Tec&Bio 2017, sur une proposition du Réseau Professionnel Auvergne Rhône-Alpes de Traction Animale (RéPARATA) et d'Hippotese, 3 maraîchers ont présenté leur parcours d'installation et leur fonctionnement en traction animale.

Les 3 maraîchers qui nous ont fait partager leur Conduite d’exploitation maraîchère en TA sont :
Jérémy Fady pour le Potad'jé, à Doissin (Isère). Mél : jeremyfady@gmail.com
Jean-Yves Point pour le Jardin Fertile à Duerne (Rhône). Mél : courtine@laposte.net
et Hugo Dufour pour les Potagers de Gaia à Hermance (Canton de Genève, Suisse). Mél : info@potagersdegaia.ch

Voici les diapos, support de cette présentation (fichier PDF 16 Mo, vous pouvez aussi cliquer sur l'image ci-dessous) :

lundi 5 décembre 2016

Autoconstruction d'une bineuse monorang, légère et autoconstructible : La NéoPlanète

Suite à notre collaboration avec l'Atelier Paysan sur l'autoconstruction des matériels de traction animale (en particulier destinés au maraîchage), à savoir Le projet NéoBucher, nous avons décidé de remettre le couvert...

Sachant que tous les maraîchers n'utiliseront peutêtre pas un outil multirangs comme le Bucher et pour faire suite à la demande de Jérémy Fady (voir son blog), nous avons proposé à l'Atelier Paysan de réfléchir à la conception d'une bineuse monorang légère de type Planet-JR...

Ces bineuses, d’origine américaine, ont été développées par la compagnie Allen and Co dans les années 1900 aux États-Unis et importées en France notamment par la maison Pilter.
Comme le Bucher, elles ne sont plus fabriquées ni commercialisées aujourd'hui.

Jérémy a donc proposé à l'Atelier-Paysan, au nom d'Hippotese, de repartir sur un projet de conception d'une NéoPlanète (nous avons francisé le nom pour l'occasion), sur le modèle des bineuses qu'il utilise tous les jours, de la rendre autoconstructible tout en améliorant si possible son ergonomie (mais en conservant ses qualités spécifiques) et évidemment de diffuser le fruit de ce travail en licence libre.

Un petit groupe de travail s'est donc constitué autour de Rémi D. (volontaire en service civique à l'Atelier Paysan) pour réfléchir, concevoir et réaliser un prototype de NéoPlanète.

Je vous laisse découvrir les billets de compte-rendu de ce travail de recherche écrit par Rémi et diffusés sur le forum de l'Atelier paysan (que je recommande chaudement d'ailleurs à tous ceux qui s'intéressent à la recherche sur le matériel et à l'autoconstruction).

Je vous ai aussi mis ces billets en pdf pour lecture hors-ligne et/ou impression ci-dessous...

NB : l'Atelier Paysan et Hippotese organise un premier stage de "prototypage" de la NéoPlanet du 19 au 22 décembre 2016 au CFPPA de la Côte Saint André (Isère). Plus de renseignements ici...

mercredi 15 octobre 2014

Porte-Outils Bucher pour monter des billons réguliers, au Potadjé, avril 2014

Voici un retour d'expérimentation du porte-outils de maraîchage Bucher au Potadjé chez Jérémy Fady avec la complicité de Ruby (Titan, le cheval de Jérémy n'était pas encore arrivé en avril). Et tout d'abord, une petite vidéo...

Montage de billons à écartement régulier, avec le Bucher :


Billonnage au Porte-outils de maraichage Bucher... par hippotese

Nous avons "monté" des billons avec le porte-outils Bucher en équipant la barre porte-outils d'origine de 3 socs billonneurs (écartés de 60 cm les uns des autres). Ils n'étaient pas vraiment identiques mais celà est sans importance.


3 socs billonneurs à 60 cm les uns des autres montés sur la barre d'origine du porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

A l'aller, on utilise un sillon existant à gauche pour se guider et tracer 2 nouveaux sillons. Le sillon de droite est marqué mais reste peu profond. NB : le premier sillon de la planche a été réalisé ici avec une sarcleuse "un rangt" équipé d'un buttoir, comme il conditionne la rectitude de toute la planche et doit être réalisé avec soin.


A l'aller, on utilise un sillon existant à gauche pour se guider et tracer 2 nouveaux sillons, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)


Le sillon de droite est marqué mais reste peu profond, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

Au retour, ce marquage permet le guidage du cheval et les 3 sillons sont alors repris et creusés à la bonne profondeur. Il faut donc un aller-retour pour faire 3 sillons. En fait, avec cette technique de culture, à chaque aller-retour on ne réalise que 2 nouveaux sillons mais l'écartement inter-sillons est vraiment très régulier.


Au retour, les 3 sillons sont repris et creusés à la bonne profondeur, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

Le porte-brancards est monté en position extrême à gauche de façon à ce que les brancards et donc le cheval soit aligné avec la roue de gauche, la traction est donc dissymétrique, ce qui ne semble pas poser de problème si la terre est bien préparée et aussi parce que c'est le soc billonneur de gauche qui est le plus enfoncé, le soc du milieu est moyennement enfoncé et le soc de droite ne fait qu'un traçage du fait de l'inclinaison naturelle du porte-outils dont une roue se trouve dans le sillon précédent, alors que l'autre est sur le sol non encore travaillé.


Le porte-brancards est monté en position extrême à gauche, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

Les modifications que nous avons apporté au Bucher original ou à son utilisation :

- Fixation des brancards sur le porte-brancard à l'aide de demi-colliers d'échafaudage : (ou de colliers-doubles coupés). Les colliers d'échafaudage sont habituellement en dia 49 mm, et sont donc adaptés aux brancards métalliques que nous utilisons (tube chauffage 40-49).
Le montage-démontage et le réglage sont alors très rapides sur le porte-brancard du Bucher. NB : Un collier double coûte environ 5 €.


Brancards fixés sur le porte-brancard du porte-outils de maraîchage Bucher à l'aide de demi-colliers d'échafaudage, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)


Brancards fixés sur le porte-brancard du porte-outils de maraîchage Bucher à l'aide de demi-colliers d'échafaudage, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

- Double cintrage des brancards : Un des problème du Bucher est que le cheval (même en "Chevilatte", est relativement gêné pour faire un demi-tour court en bout de rangt. On tente de lui donner une certaine liberté en écartant les brancards des flancs par un double cintrage.


Double cintrage des brancards du porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)


Double cintrage des brancards du porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

- Utilisation d'un "palonnier-porté" monté sur le harnais "Chevilatte". Nous sommes de plus en plus convaincus de l'intérêt du "palonnier-porté" avec les chevaux de travail. Il s'agit ici de l'utiliser en attelage aux brancards donc avec un harnais muni d'un reculement (évidemment, un avaloire Grand Vallier) comme le "Chevilatte" (nous avions déjà fait un billet sur nos premiers essais, ici).


Palonnier-porté adapté sur un harnais "Chevilatte" pour atteler le porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)


Palonnier-porté adapté sur un harnais "Chevilatte" pour atteler le porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

- Ajout de mortaises (de brancard) longues pour permettre l'action du palonnier en mode "Chevilatte" et aussi améliorer la liberté du cheval dans les demi-tours (voir nos essais précédents ici)


Mortaises longues pour garder l'effet "palonnier" sur le porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)


Mortaises longues pour garder l'effet "palonnier" sur le porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)


Mortaises longues pour garder l'effet "palonnier" sur le porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

Les modifications qui reste en projet :

- Réalisation d'un porte-brancards plus large, afin de permettre l'attelage déporté du cheval à l'axe exacte de la roue (il manque encore une dizaine de centimètres), et éventuellement placer les brancards en "V" inversés pour augmenter encore la liberté du cheval. Le porte-brancards d'origine fait une largeur de 965 mm, il faudrait l'allonger au moins à 1200 mm.


Porte-brancards large, pour permettre l'attelage déporté du cheval sur le porte-outils de maraîchage Bucher, Potadjé 2014 (photos Deny Fady)

mercredi 25 décembre 2013

Un nouveau site HIPPOTESE pour noël 2013

Tous le conseil d'administration d'Hippotese vous souhaite un joyeux noël et vous offre un petit cadeau...

Un nouveau site web pour Hippotese !

En effet, depuis un certain temps, (un temps certain, diront les mauvaises langues), le site web d'Hippotese n'était plus mis à jour car nous privilégiions l'actualité sur le blog.

De plus, comme il s’agit d'un site "statique" écrit en "html pur" il est difficile à mettre à jour... (les "experts" me comprendront, et rassurez-vous, c'est peu important pour les autres !).

Jérémy Fady a proposé de s'attaquer à la refonte complète, la réécriture même, du site web d'Hippotese en utilisant un CMS (Content Management System ou Système de Gestion de Contenu), très populaire actuellement, j'ai cité WordPress.

Nous avons même, grâce à Yoan Fady (son frère), acheté un nouvel hébergement et le nom de domaine http://hippotese.fr.

Jérémy a donc installé et réécrit le nouveau site que vous trouverez à cette adresse : http://hippotese.fr.

Pour l'instant l'adresse http://hippotese.free.fr (et son "vieux" site statique) est toujours valide jusqu'à ce que la nouvelle mouture soit complètement finalisée.

Jérémy a aussi fait un énorme travail de référencement de tous les contenus du site et du blog, ce qui permettra à chacun d'entre-vous, nous l'espérons, de trouver plus facilement les informations qu'il recherche.

On compte donc sur vous pour nous faire des retours (critiques mais gentils) avec la page "contact" du nouveau site qui pointe vers l'adresse mél d'Hippotese.

Il y a encore, sans doute, pas mal de fautes d'orthographe ou d'erreurs que nous essaierons de corriger, l'objectif étant en début d'année 2014 de rediriger, définitivement, l'adresse hippotese.free.fr vers la nouvelle adresse hippotese.fr

dimanche 11 août 2013

Un cheval et une motofaucheuse pour faire 15 tonnes de foin (saison 2, été 2013) partie 2

Comme promis dans le précédent billet, voici quelques explications sur le pliage des bois de trousse :

En effet, ceux-ci ont la fâcheuse tendance à s’emmêler et il a fallut trouver un système simple pour les plier et les ranger sans jouer à chaque fois au "jeu de ficelle" (qui rappellera des souvenirs aux plus âgés d'entre nous)...

Je vous ai fait quelques dessins explicatifs qui devraient être compréhensibles...


Le pliage est plus facile à 2 personnes et seule celle du côté du bois de trousse avec troyes doit bouger, l'autre maintient simplement la tension...


Un bon pliage permet de transporter facilement les bois de trousse et permet un dépliage dans la sérénité...

Et puis, comme promis, voici aussi les photos de transport de foin avec le "cabri" et le chariot à roues :

Ceux qui nous suivent depuis plusieurs années, auront reconnu le chariot que nous utilisions pour charger le foin en vrac (autochargeuse manuelle) qui a été reconvertit pour le transport des trousses.

NB : Pour nos lecteurs intéressés par l'aspect technique j'ai aussi ajouté quelques photos, de 2012, du chariot "à vide"...

NB2 : Pour la petite histoire, ce chariot à la base est un traîneau à roues (escamotables facilement) qui était utilisé à l'origine en traîneau dans les prés et en chariot sur la route. Maintenant, avec les trousses que l'on peut facilement rouler jusqu'à la route ou la piste, il reste en position "chariot".


Jérémy et Ruby à la manœuvre...


On peut charger jusqu'à 5 grosses trousses (d'une centaine de kilos chacune) sur le chariot...


Gros plan sur le "Cabri", notre avant-train à 3 roues...




Plusieurs passages le long du chemin pour revenir à la grange font seulement 2 mètres de large...


...ce qui nous empêche de faire des trousses plus longues et nous oblige à les peigner soigneusement au râteau.


Ah zut, j'ai oublié le frein... Ruby un peu de patience s'il te plaît !


En les roulant, on peut assez facilement charger seul le deuxième rang de trousses



Traversée du village, étroite et en forte pente...


Une maison fleurie à Montdenis...


Le transport du foin au cheval se fait généralement après 17h00 et jusqu'à la nuit pour profiter des heures moins chaudes et faire travailler Ruby dans les meilleures conditions...


On voit bien la structure du traîneau et les roues escamotables, dessous...


Sur cette vue, on peut voir l'extension en tube qui a été ajoutée à l'arrière pour permettre de charger 5 trousses...


Une autre photo de 2012 avec Scilla (woofeuse hongroise) qui donne une idée des dimensions du chariot...

NB : si vous souhaitez d'autres informations sur ce chariot, n'hésitez pas à laisser un commentaire...

jeudi 14 janvier 2010

Comparatif Mules-Hélicoptère pour le ravitaillement des refuges de montagne

Restons dans les mules... Hervé Jourdain nous avait posé la question de la comparaison : mule/hélico, il y a plus d'un an...

Jérémy Fady nous a fait suivre un lien vers le site italien http://ecoalfabeta.blogosfere.it sur un comparatif entre ces 2 modes de transport...

c'est en italien mais c'est très intéressant de savoir qu'un hélicoptère transporte la charge de 17 mules mais utilise la puissance de 540...

Je vous ai fait une traduction de l'article en français (approximative, je ne parle pas un mot d'italien, j'ai simplement utilisé google-translate, j'espère ne pas avoir écrit trop de bêtises...


Une carte-postale de 1900 dans Les Pyrenées


La mule et l'hélicoptère
Article de Mark Pagani à 08:03 dans la rubrique "les énergies renouvelables" du site : http://ecoalfabeta.blogosfere.it

Nous revenons sur le sujet de la mule (après avoir introduit celui-ci dans l'article "Les Mules de l'Olympe" Muli Olympus).

Les mules ont été utilisés pendant des siècles pour transporter des charges sur les routes et chemins (muletiers) de montagne.

Il paraît alors opportun de comparer cet ancien moyen de transport avec la technologie la plus avancée disponible pour l'humanité : l'hélicoptère.

L'Hélicoptère a (une histoire de) plus de 60 ans depuis le premier vol d'exploitation fait par Igor Sikorsky en 1940.

On peux juger la comparaison injuste ? Eh bien, n'oubliez pas la fable du lièvre et la tortue...


source : http://ecoalfabeta.blogosfere.it

Le tableau ci-dessus résume les performances typiques d'un mulet (certaines sont tirées du site du journal Rural Heritage, d'autres, je les ai reçue du directeur du refuge du mont Olympe qui est ravitaillé par des mules).

J'ai comparé avec l'hélicoptère Ecureuil AS350, qui est fréquemment utilisé dans les opérations de transport en montagne (les données utiles sont issues de la brochure du fabricant et de Wikipedia qui confondent le poids utile et maximum).


Photo : hélicoptère Ecureuil AS350, source Wikipedia

Les chiffres ci-dessus nous montrent que l'hélicoptère transporte la charge de 17 mules, mais utilise la puissance de sortie de 540 !

Bien sûr, en plus ou moins en cinq minutes au lieu de 3/4 d'heure (et pourquoi être si pressé ?) mais utilise environ deux fois plus d'énergie par kilogramme de fret.

Ils montrent également (et c'est le péché le plus grave à mon avis) que l'hélicoptère utilise une source d'énergie non renouvelable qu'il consomme goulûment (environ 150 kg par heure !).

En résumé, l'hélicoptère devrait être utilisé pour les transport qu'une simple mule n'est pas capable d'effectuer et où la rapidité est essentielle (secours en montagne).
Sinon, à quoi bon gaspiller du pétrole ? Une Couverture et un bât et... zou !


Les commentaires du site sont aussi à lire avec intérêt...

1. Znarf Mercredi 13 Septembre 2006 heures 23:53

La consommation d'énergie du système de l'hélicoptère est en réalité bien supérieur à ce qu'il semble considérer le combustible simple.
L'hélicoptère nécessite une certaine quantité d'énergie pour être construit, il faut des matières premières (plus d'énergie pour les extraire, les transporter et les transformer), exige des années d'études consommateurs (et) par l'ingénieur qui a conçu, le pilote qui le guide lui et le technicien qui est responsable de l'entretien, il a besoin d'un héliport (de l'espace, peut-être des terres agricoles qui deviennent improductives).
Remontant la chaîne de l'hélicoptère, l'histoire de chaque composant, l'histoire des gens qui consacrent et qui ont consacré leur temps, vous pourriez marcher un long chemin de la matière et des connaissances qui se propage de façon exponentielle, en passant, passage.
Cette observation s'applique non seulement à l'hélicoptère, mais l'objet pratiquement tous dans la vie quotidienne: la quasi-totalité provient de la complexité et l'interdépendance des réseaux de production d'une économie avancée. La question que je pose est donc la suivante : ressources énergétiques, l'engagement, de vastes déployés pour créer un objet complexe comme un hélicoptère, où la nature a déjà préparé une solution, certes partielle, mais beaucoup plus facile à gérer et à utiliser: il y a un point où le jeu ne vaudra plus que la chandelle ? (Bien sûr, l'hélicoptère est un exemple paradigmatique : les mêmes considérations s'appliquent à des dizaines de milliers d'autres produits, matériels ou immatériels tels qu'ils sont, l'économie moderne ...)

2. Daniele Hosmer Zambelli, Mardi 28 Novembre 2006 heures 13:40

Je soutiens pleinement la réutilisation du mulet pour le transport à haute altitude, mais je dois souligner que pendant que l'hélicoptère lorsque les exigences d'entretien est encore très faible, le mulet mange tous les jours, et que les coûts devraient être transportés d'une certaine façon mis en évidence . C'est clair que le problème est résolu en fournissant suffisamment d'emplois pour absorber ces coûts, mais vous ne pouvez pas ne pas en tenir compte en faisant des comparaisons économiques avec un moyen mécanique.

3 . Marco Pagani , Mardi 28 Novembre 2006 heures 22:29

Bien sûr, je suis d'accord avec le fait que la mule doit manger de la consommation quotidienne d'énergie ne devrait pas être supérieur au 40 000 kcal (a besoin d'un cheval affecté à un travail pénible), ce qui équivaut à 167 MJ. Cette quantité d'énergie équivalente à environ 3,8 kg d'essence, soit environ 5 litres est la consommation de deux minutes de vol d'Ecureuil »... En outre, l'hélicoptère ne l'est déjà beau »et faire, mais il faut de l'énergie de construire, et même beaucoup. Cette énergie comme il devrait être amorti sur la durée de vie utile de l'hélicoptère, qui se déplace ou est stationnaire.
Je pense que la chose que nous visons toujours le mulet gagne toujours en termes de durabilité ...

4. mongiardino francesco, dimanche 13 Luglio 2008 heures 18:24

Je me demande si une mule est facile à diriger, à nourrir. Dans le cas d'une randonnée d'une semaine, l'herbe des prairies alpines suffit-elle à son entretien. la nuit ne sont pas capables de se lier comme vous peur Scape (intraduisible NDLR). Je demande tout celà parce que je suis un amoureux de la montagne, mais étant donné l'âge que j'ai, je n'ai plus la force avec mes jambes pour m'attaquer à certaines collines et certaines routes. Je vous remercie de bien vouloir me donner des réponses et en attendant, je vous envoie mes salutations

5 . Marco Pagani, dimanche 13 Luglio 2008 heures 23:16

I comme des mulets, mais au fond ne les connais pas.
Vous pouvez monter, comme nous le voyons sur l'image du poste Mont Olympe, mais je ne sais pas si le trajet est confortable.
J'ai vu des mulets attachés et attachés à l'abri sur le mont Olympe, donc je pense que vous pouvez lier. Je ne peux pas dire plus, mais je peux me référer à ce lien sur la mule dans le monde des Alpes, où il ya quelques informations intéressantes.
Modifier les informations que vous mai contacter les éditeurs de la http://mulo.it site, ou de la British-Mule Society.