Hippotese, Le cheval de Travail

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samedi 30 décembre 2006

Chevaux de trait en ville aux Etats Unis autour de 1900

J'ai trouvé (presque) par hasard sur le web, d'autres photos de chevaux de trait en ville aux Etats-Unis (voir précédent billet de début novembre).

D'abord une photo de tramways, prise à Chicago après l'immense incendie de 1871.
Remarquez la taille et le nombre de tramway présents dans une seule rue (déserte), remarquez aussi l'étendue des dégâts de l'incendie...

Une autre photo, datée de 1941 à New-York cette fois...
S'agit-il de chiffonniers ? de déménageurs ? l'habit du personnage du premier plan avec son look de coiffeur me laisse perplexe... (j'attends vos avis...)

Enfin 2 photos non datées, à mon avis autour de 1850, de la compagnie d'électricité Western Electric Co.
Je vous ai mise la seconde en taille originale (cliquez dessus pour agrandir), pour apprécier les détails des harnais et de l'attelage à 3 chevaux de front.

jeudi 28 décembre 2006

Cadeau de Noël, les photos de la Convergence, Les chariots d'Hippotese Août 2006

Cadeau de noël : plus de 200 photos de la Convergence "Les chariots d'Hippotese en route vers Levier".

Nous vous les avions promis en cadeau de fin d'année, les voici donc toutes fraiches toutes chaudes...

Les nombreux comptes-rendus d'étapes, remis en forme, suivront bientôt...

L'ensemble des photos et compte-rendus ici

Autres photos des véhicules hippomobiles de la fabrique Schustala en République Tchèque

Ca y est, j'ai retrouvé d'où proviennent les photos que nous avons diffusé le mois dernier (le billet ici).

Elles proviennent du site des Editions "Butterfly Publishing" qui présentent le livre "Schustala - Kopřivnice Coaches" (les calèches de la fabrique Schustala). Ce livre publié en septembre 2000, fête les 150 ans de l'entreprise.

235 x 325 mm, 370 pages, ISBN 80-238-5705-3, prix : 66 €, port compris, un bon de commande en ligne est même disponible via un formulaire intégré.

L'adresse du site


Les plans d'un chariot de laitier


Véhicule de transport d'instruments type 5569, 1917

quelques autres photos...

Lire la suite...

mercredi 27 décembre 2006

Cartes postales et cartes virtuelles de chevaux de trait

Nous avons reçu une gentille carte virtuelle du site traitpourtrait (site de (superbes) dessins de chevaux et débardage) que nous vous recommandions chaudement il y a quelques semaines...

Ce site propose un service de vente de cartes de voeux originales et un service gratuit de cartes virtuelles tous deux à base de dessins de chevaux de trait en action...

Je n'ai pas résisté à m'y rendre pour réaliser la mienne, j'ai fait ensuite une petite copie d'écran afin que tous, fidèles lecteurs, vous puissiez en profiter...

Allez-y le résultat est superbe...

jeudi 21 décembre 2006

chariots américains, wagon trains, les photos

J'ai capturé quelques images sur le film et le site Mc Nabb Wagon Trains qui propose des ballades en chariots de 5 jours aux US (voir billet suivant).
Ca m'a rappelé la convergence "Les chariots d'Hippotese en route vers Levier" de cette été...
Souvenirs, souvenirs...
Les prix aux US, c'est 1300 $ pour le chariot et les chevaux et 700 $ par personne (maxi 3)...


Les chemins du Jura de l'ouest américain...


Ils balladent même un chariot "wc", ils sont fous... Quoique... On pensait bien prendre un chariot cantine (avec fourneau), on pourrait y adjoindre une douche (solaire et bois) et un wc... Quand on est 30 cowboys crottés, c'est pas toujours facile d'aller squatter chez les "accueillants"...

mercredi 20 décembre 2006

Convergence en chariots américains


Vidéo envoyée par hippotese
Des ballades en chariots aux Etats-Unis, des super chariots avec essieu directeur et même le chariot "Toilette"...

Ca ressemble à nos convergences... en plus sec...

Le son est pourri et y'a quelques longueurs à faire défiler...
Mais c'est à voir...

Plus d'infos sur : www.kmcnabb.com

lundi 18 décembre 2006

Manifestation internationale des chevaux de trait de Detmold, 25-26 août 2007

Manifestation internationale réservée aux chevaux de trait et à la traction animale

les 25 et 26 Août 2007 au Musée de plein air de Westphalie à Detmold (Allemagne)

Detmold, c'est le point de rencontre des professionnels et des amateurs, c'est la vitrine du progrès de la traction animale en Europe !

Visitez le site web : http://www.pferdestark.org

lundi 4 décembre 2006

Crochets et chaînes de débardage pour les chevaux de trait

Materiel de débardage (chaînes, crochets, poulies).

Les petites dimensions sont adaptées à l'utilisation en débardage avec les chevaux

PEWAG (catalogue de la maison mère autrichienne, cliquer sur le petit drapeau anglais "international" pour l'avoir en anglais, puis sur "forestry Applications")

J3C Pewag France
11, Rue du Drac,
F-38180 Seyssins
phone:+33 /(0) 476 96 41 50
fax:+33 /(0) 476 21 80 28
j3c@wanadoo.fr

CORDERIE DOR (catalogue en ligne)
(Y'a des petits logos en haut à droite pour naviguer, sortir du PDF ou imprimer)

Agence de Lyon :
11, rue des Frères Lumière
69680 Chassieu
tél : +33 (0)4 78 40 14 54
fax : +33 (0)4 78 90 74 30

Axe manutention
J'ai pas trouvé de dimensions adaptées aux chevaux, mais le catalogue en ligne est très réactif (utile pour les dénominations et les photos).

Quel matériel choisir :

D'après notre expérience, en chaîne il faut prendre de la chaîne à fil rond (round steel & profile steel chain), en acier haute résistance (classe 80), de diamètre 5 (autrefois appelé type Nif5 chez Pewag, maintenant j'ai pas trouvé !). Elle résiste à 1500 daN (1T5) et je ne connais qu'un exemple de rupture de cette chaîne avec des chevaux. Une longueur de 3 mètres, équipée de 2 crochets étrangleurs à chaque bout semble être le plus adapté.

Pour les crochets étrangleurs (Clevis choker hook), le modèle KSR-V56 de chez Pewag est notre préféré, à trouvé dans "chaîne et accessoires".
Nota : appelés "anneaux fendus" chez PEWAG (merci Gepeto).
Type : KSR-V 5-6, force 3250daN,/d=7,4mm/e=43,3mm/s=7,5mm/Poids=0,22kg

Pour les crochet "raccourcisseurs" (Eye Grab Hook ou Clevis Grab Hook), les modèles PW 5-6 ou KPW 5-6 conviennent (trouvé dans "accessoires spéciaux").
Nota : Pour info, la référence des crochets "raccourcisseurs" (appelés "crochets parallèles" par PEWAG) à anneau, est PW (pour adapter à un palonnier), les crochets "raccourcisseurs" à chape (pour adapter à une chaîne) sont des KPW. (merci Gepeto)
Exemple : Type PW 5-6, force 2800daN, /d=7,4mm/e=45,0mm/g=8,0mm/Poids=0,15kg
Nous à HIPPOTESE, nous utilisons souvent des crochets que nous forgeons nous-même (prise plus longue pour plusieurs chaînes) ou des arrêtes de poison (taillées dans des lames de suspension).
Cependant, si vous êtes dans le domaine professionnel, attention à l'homologation des crochets.

Crochet PW à anneau (à gauche) et crochet KPW à chape (à droite).

Pour des traînes multiples (petits bois), on peut aussi utiliser un crochet de groupage (ou de traîne) (sliding-hook) pour rassembler plusieurs chaînes.

Pour info : Un autre lien de matériel en république tchèque.

Tags : chaîne, chaînes, chaine, chaines, palonnier, palonniers, crochets raccourcisseurs, crochets étrangleurs, crochet.

dimanche 3 décembre 2006

Avec Equi'Terra Beauvais s'engage à innover durablement

Communiqué de presse trouvé sur le site de la ville de Beauvais (2005-2006).

Beauvais sera bientôt la première ville de France à disposer d’une équipe d’intervention de … 28 chevaux de trait ! Nouvel enjeu pour une nouvelle ambition, lancé aujourd’hui par la Ville de Beauvais, « Equi’Terra® » est un véritable programme, de grande envergure, de réintroduction des Chevaux de Trait en milieu urbain pour une approche durable du territoire.

Il s’agit concrètement de mettre en place un pôle qui prendra la forme d’un « village » des utilisations du Cheval de Trait, se rattachant à l’agenda 21 Beauvaisien et constituant un projet thématique à part entière de Développement Durable. Revêtant un intérêt écologique et économique comme moyen au service de l’action publique, le Cheval de Trait contribue aux attentes durables du territoire beauvaisien par une série d’actions concrètes et mesurables. Véritable patrimoine vivant, le Cheval de Trait participe au maintien de métiers et savoir-faire spécifiques à réadapter à la société moderne.

Durable, collectif et fédérateur, ce projet impliquant de nombreux partenaires qu’il valorise a motivé l’équipe municipale car il illustre de façon novatrice et originale des enjeux concrets pour la collectivité il répond à une forte aspiration des citoyens, à une offre de services différente, nouvelle et complémentaire des matériels existants pour les administrés.

Le Cheval de Trait, moyen au service de l’action, est appelé à symboliser à Beauvais des missions de services publics éco-responsables, en synergie avec l’Homme et le Territoire.

Après la grande manifestation « Cheval de Trait, Cheval d’Avenir » organisée par la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis, au Plan d’Eau du Canada, des actions récentes, à valeur de test et en conditions réelles, continuent à préfigurer de ce que sera le projet Equi’Terra au final. 22 actions ont été programmées pour l’année 2005 : une façon d’illustrer les différentes utilisations modernes du cheval en milieu urbain et rural.

Ainsi, des navettes hippomobiles ont sillonné les rues de Beauvais dans le cadre de manifestations comme la Fête de la Musique ou les Portes Ouvertes des Serres Municipales

L’entretien d’espaces verts à l’exemple de l’arrosage de massifs en centre ville et de débardage en zones sensibles péri urbaines

La Route du Poisson, le 24 septembre prochain, offrira une vitrine de grande dimension au projet Equi’Terra, avec la reconstitution d’un relais de Poste rue St-Pierre

Les 1er et 2 octobre, le « Weekend du sport en famille » offrira l’opportunité d’une démonstration de matériel hippomobile adapté au transport de personnes handicapées, avec les Ateliers du Val de Selle (80), Centre d’Aide par le Travail Hippique

Un salon du livre et de l’animal de terroir se tiendra le 19 novembre à l’ISAB.

Ce programme permettra de mettre en oeuvre, par le Cheval de Trait, des modes de fonctionnement et de transport respectueux de l’environnement, non polluants, non bruyants, renouvelables et illustrant le Développement Durable.

Etudes préalables, expertises, volet de recherche mené par l’Institut Européen du Développement Durable apporteront une légitimité et une caution scientifique au projet. A terme, avec ses 28 chevaux, la ville de Beauvais sera en mesure de gérer de nombreuses missions urbaines et rurales.

Equi’Terra, porté par la Ville de Beauvais, est donc un projet de développement global innovant, dont la pertinence réside dans l’accumulation des modes d’utilisation modernes du Cheval de Trait. Dynamique parce qu’ancré sur une réalité économique et écologique, il répond à une aspiration sociétale de mieux vivre ou de faire différemment et complémentairement avec les moyens mécanisés usuels, et d’apporter des services nouveaux à la population.

Equi’Terra : un projet en marche à l’horizon 2006-2007, une « pierre vivante » apportée à la construction de Beauvais, « trait » Durablement.

samedi 2 décembre 2006

Histoire de la Malle-poste et la police de roulage

Je suis tombé par hasard sur le site d'un passionné d'Histoire des routes et de leur usage, et donc des rouliers, cochers, postillons et autres charretiers...

Il s'agit de Lévêque Roger, Ingénieur divisionnaire des travaux publics de l'Etat en retraite.

Je vous recommande son site DOKHISTOIRE et en particulier :

La poste aux chevaux et

Une étude sur la police du roulage de 1624 à 1921

et dans cette 2ème partie, tout particulièrement les chapitres sur : La sécurité dans les transports publics et Les règles de circulation.

Une petite citation, qui va intéresser nos amis du syndicat des cochers, pour vous mettre l'eau à la bouche...
Mais, au préalable, il nous paraît utile de préciser la signification du terme " roulage ". Au XVIIIème siècle, le " Roulage " se définissait comme la profession exercée par les rouliers, ceux-ci étant << des voituriers par terre, qui transportent des marchandises d'un lieu à un autre sur des chariots, charrettes, fourgons et autres pareilles voitures roulantes>> On peut donc en conclure que la police du roulage ne concerne que les transports de marchandises, à l'exclusion des transports de voyageurs.

Bon d'accord, le jaune sur fond noir est un peu kitch et difficile à lire, mais ça vaut vraiment le coup de la visite...

NB : je devrais lui proposer de lui convertir ces documents en pdf, je crois...

Cheval en Ville à Nancy pendant l'été 2006

Communiqué de Presse
A la découverte de Nancy en calèche.

Depuis avril, dix personnes en difficulté d’insertion professionnelle travaillent au sein du chantier d’insertion, mis en place par le Ville de Nancy en partenariat avec le Comité Régional d’Equitation, Le Cheval dans la ville.

Dans ce cadre, le chantier d’insertion propose des promenades commentées gratuites réservées aux habitants du Grand Nancy.

Les vendredis et samedis
Du 7 juillet au 2 septembre
Deux calèches sillonneront les quartiers de la Ville Haute, de la ville Vieille et des Rives de Meurthe sur dix parcours d’environ une heure.
Ville Haute : départ les vendredis et samedis à 14h00 et 15h30 du Parking de Gentilly.
Ville Vieille : départ :
• les vendredis à 14h00 du Palais du gouvernement, à 15h30 de l’esplanade du Souvenir Français.
• les samedis à 14h00 et à 15h30 du Palais du gouvernement.
Rives de Meurthe : départ les vendredis et samedis à 10h30 du parking bus Ste Catherine.

Contact Hotel de Ville de Nancy : Anne Leprévost au 03 83 85 31 00

Plus de 200 chevaux vivent à l'année dans Paris

Article du MONDE du 29.11.06 AFP/OLIVIER LABAN-MATTEI

Dimanche 3 décembre, quelque 300 chevaux devraient défiler dans Paris pour marquer l'ouverture du 35e Salon du cheval. Le bruit oublié de plus d'un millier de fers sur le pavé apportera ainsi un lointain écho du XIXe siècle : "Du second Empire à la Belle époque, Paris caracole en une immense fête équestre", rappelle l'ouvrage collectif Le Cheval à Paris (éd. Action artistique de la Ville de Paris, 2006, 216 p., 40 euros). Le cheval est alors omniprésent : plus de 80 000 équidés sillonnent chaque jour la capitale. A côté des montures des dandys ou des élégantes, Paris est aussi l'enfer des chevaux "prolétaires" qui triment entre les brancards, parfois jusqu'à la mort.

Choyé ou surexploité, le cheval a laissé ses traces un peu partout, comme les signes d'un jeu de piste : promenades tracées pour lui, statues, bâtiments... Les chevaux vivants, eux, commencent à quitter les rues dès les années 1910 : quand la Grande Guerre éclate, la Compagnie générale des omnibus (CGO), ancêtre de la RATP, a déjà motorisé toute sa flotte. Peu à peu, dans l'armée comme dans le transport, les moteurs chassent les chevaux. Quelques fiacres destinés aux touristes survivront jusqu'aux années 1960.

Aujourd'hui, plus de 200 équidés vivent de façon permanente dans Paris intra-muros au sens strict - c'est-à-dire sans les bois de Boulogne et de Vincennes. En dehors des petits ânes et poneys, domiciliés dans le 15e arrondissement, qui promènent les enfants dans les jardins, ils évoluent tous dans un cadre militaire.

Les plus visibles sont ceux des gendarmes de la Garde républicaine. Cent vingt chevaux, un quart environ de l'effectif de notre dernier régiment monté, occupent le quartier des Célestins, près de la Bastille. Outre le défilé du 14-Juillet ou la "grande escorte" des visites d'Etat, la Garde développe depuis 2005 des sorties en plus petit comité. Des patrouilles de trois cavaliers de son nouveau peloton de sécurité publique à cheval surveillent plusieurs parcs ou jardins : Tuileries, Champ-de-Mars... En outre, depuis la mi-octobre, une douzaine de cavaliers sont présents autour du Parc des Princes pour les matchs du PSG, mais ils n'ont pas vocation à intervenir dans des affrontements comme ceux du 23 novembre.

DÉCOUVERTE POUR LES ÉCOLIERS

Enfin, une centaine de chevaux composent la section équestre de l'Ecole militaire, dans le 7e. Une nouvelle fois, la question de leur maintien a été posée, à l'occasion du réaménagement qui entraînera la destruction du manège actuel. En principe, la décision a été prise de conserver cette section, qui permet à des militaires, mais aussi à des enfants ou à des handicapés, de monter en plein Paris.

Pour la deuxième année, la Mairie a demandé à l'UCPA d'installer à l'automne pour quelques semaines, au parc de Choisy (13e), une structure de découverte de l'équitation, avec écurie et manège. Toutes les écoles parisiennes s'y succèdent.

La municipalité, qui compte des élus Verts dans sa majorité, ne semble pourtant pas en pointe dans le mouvement de retour du cheval en ville. L'intervention la plus récente d'un élu est celle d'Yves Contassot. L'adjoint Vert à l'environnement s'offusque que la Garde républicaine ne ramasse pas ses crottins...

Salon du cheval, Parc des expositions de la porte de Versailles, du 2 au 10 décembre, de 10 heures à 19 heures. Entrée : 12,50 €. Sur Internet : www.salon-cheval.com.

3eme et 4eme congres des chevaux territoriaux (octobre 2005-octobre 2006)

Une trentaine de villes en France emploient un ou plusieurs chevaux pour des tâches allant de la collecte de déchets verts, le tri sélectif, à l'arrosage des plantes, en passant par le débardage des zones périurbaine ou la sécurité publique avec les brigades équestres.

Réintroduire le cheval en ville pour réaliser certaines tâches municipales de façon économique et écologique ou encore favoriser l'intégration sociale et/ou communiquer de manière pédagogique sur le développement durable c'est ce qu'ont toujours défendu les participants du congrès annuel des chevaux territoriaux.

"Le cheval est plus économique, avant d'être plus écologique, plus motivant et plus valorisant pour les agents et pour l'image de la ville, que tout autre moyen de transport", a expliqué Olivier Linot, directeur général à la mairie de Trouville-sur-Mer en 2005. Cette petite cité balnéaire de la côte normande utilise depuis cinq ans un percheron pour collecter les déchets. Le cheval permet de ramasser près de 150 tonnes de verre usagé par an, mais aussi du carton et des piles... Le percheron, également utilisé lors d'animations organisées par la ville, a par ailleurs permis le recrutement de quatre jeunes en difficulté, désormais fonctionnaires territoriaux.

"Le cheval dans la ville, ce n'est pas seulement un service rendu, mais aussi la reconnaissance du sens du vivant dans les villes et le tout béton", a estimé Ambroise Dupont, sénateur du Calvados et président de la Commission cheval au Sénat. Il défend depuis de nombreuses années la réintroduction du cheval dans les villes, notamment comme moyen d'apprentissage du respect de l'autre.

"Je crois beaucoup dans les vertus du cheval dans les milieux difficiles, surtout avec le cheval de trait", a renchéri Luc Duncombe, président de la communauté d'agglomération de Caen, mais aussi vétérinaire.

Au parc de La Tête d'Or à Lyon, trois agents municipaux et deux attelages assure le ramassage des corbeilles et la propreté du site dans le respect et la quiétude des promeneurs et visiteurs.

Mais les chevaux auront aussi un rôle pédagogique avec les enfants des écoles sur les thèmes du développement durable et du respect du travail des agents municipaux dans des quartiers difficiles...

"Cette dimension sociale est impressionnante, car les enfants adhèrent tout de suite au projet", a souligné Sylvie Sagné, directrice des espaces verts à la mairie de Lyon. Selon elle, à plus long terme, le cheval peut aussi être une réponse à la hausse des prix du pétrole.

Les participants au congrès de 2005 font part de la difficulté de mener à bien leurs projets équins, notamment en raison de réticences des élus, de problèmes liés à la sécurité ou à la formation des agents, dans une filière encore peu structurée, même si , Jean-François Cottrand a explicité les différentes formations et qualifications "utilisation du cheval" qui existent en 2006.

"Les haras nationaux peuvent dans ce domaine donner une impulsion et remplir une vraie mission de conseil technique", a jugé Ambroise Dupont, alors qu'Olivier Linot a estimé que la solution viendrait surtout des industriels et de leurs offres commerciales et techniques.

Le congrès de 2006, s'est ouvert à l'Europe et de nombreux intervenants sont venus présenter ce qu'ils font au Luxembourg, en Grande Bretagne, en Belgique, en Allemagne et en Suède...

Merci à Olivier Linot et Lydia Mallet, artisans de ces congrès, qui nous ont fait suivre les compte-rendus accessibles ci-dessous :

Télécharger au format PDF le compte-rendu du 3ème Congrès des Chevaux Territoriaux du 21-22-23 Octobre 2005

Télécharger au format PDF le compte-rendu du 4ème Congrès des Chevaux Territoriaux du 20-21-22 Octobre 2006

jeudi 30 novembre 2006

Enlèvement d'embâcles et débardage sur La Valloirette (Savoie)

Jean Paul Maujonnet de l'Asinerie de la Vallée d'Or débarde avec Jumbo les arbres arrachés par les crues de cet été dans le torrent de La Valloirette à Valloire (Savoie).

L'enlèvement d'embâcles est une activités de débuscage en forte progression en traction animale, surtout avec la prise en compte de la protection des berges.

Merci au Dauphiné Libéré du 11 octobre 2006, pour l'article ci-dessous...

Règlementation pour le transport des équidés

Nous avions beaucoup discuté lors d'un Equita-Lyon (2004, je crois) sur les nouvelles règlementations sur le transport des équidés.

J'ai trouvé sur les documents téléchargeable de l'excellent site http://www.le-site-cheval.com, un article de la Revue de l'Equitation Française (N°60, d'août 2005, page 26-27, diffusée par la Fédération Française d'Equitation) qui récapitule cette règlementation.

Cliquer sur les images pour les voir en plus grand.

le 4e Congrès des chevaux territoriaux s'est tenu les 20, 21 et 22 octobre 2006

Revue de presse et de blog sur les expériences d'utilisation de chevaux territoriaux (2005-2006)

4e Congrès des chevaux territoriaux,
L’hippomobile revient dans la course
(information mise en ligne le 16-10-2006)

Les 20, 21 et 22 octobre, dans le cadre des Equi’days, un colloque réunira à Trouville-sur-mer, les communes de France utilisant des chevaux dans leurs services municipaux. Ce congrès destiné aux maires, élus, responsables et agents des services techniques des communes permettra aux participants d’échanger sur leurs expériences, de conseiller les collectivités qui tentent de mettre en place un service lié à la traction animale et d’apporter des réponses aux procédures administratives (problèmes d’assurance, d’équipement, de matériel homologué, etc.). Pour cette 4e édition, la manifestation prendra une dimension européenne en présence de représentants de la Suède, du Royaume-Uni, du Luxembourg, de la Belgique et de l’Allemagne. Le premier Congrès des Chevaux territoriaux était organisé en 2001 à Trouville-sur-mer, à l’initiative et avec le soutien d’Ambroise Dupont, conseiller général, député-Sénateur du Calvados, et Président de la commission du cheval au Sénat. Une vingtaine de villes s’étaient réunies à cette occasion. Trouville-sur-mer figure parmi les premières communes de France à effectuer le tri sélectif au moyen d’un cheval de trait. Depuis cinq ans, le percheron Festival de Mai (13 ans) et son jeune collègue, le cob normand Lasso du Jardin (7 ans) officient dans la Cité balnéaire.

Contact : Lydia Mallet au 02 31 14 41 59 ou Olivier Linot : 02 31 14 41 56
Contact : dfinances@mairie-trouville-sur-mer.fr
ou dgs@mairie-trouville-sur-mer.fr


Octobre 2006. Ce quatrième congrès des chevaux territoriaux accueillera cette année les expériences d'implantation de chevaux dans les communes françaises et européennes. L'occasion pour tous les participants (élus, techniciens, employés municipaux …) d'échanger sur des thèmes aussi divers que le choix, l’achat du cheval, son coût, son entretien , les assurances, les emplois, la qualification nécessaire, la formation, la motivation ….


Actualité Mondiale : Le cheval dans la ville: une solution économique, écologique et sociale Posté par Mortelune le 25/10/2005 8:20:00 Articles du même auteur Actualité Mondiale

Réintroduire le cheval en ville pour réaliser certaines tâches municipales de façon économique et écologique ou encore favoriser l'intégration sociale, c'est ce qu'ont défendu ce week-end à Caen les participants au 3e congrès des chevaux territoriaux.

"Le cheval est plus économique, avant d'être plus écologique, plus motivant et plus valorisant pour les agents et pour l'image de la ville, que tout autre moyen de transport", a expliqué Olivier Linot, directeur général à la mairie de Trouville-sur-Mer. Cette petite cité balnéaire de la côte normande utilise depuis cinq ans un percheron pour collecter les déchets.

Le cheval permet de ramasser près de 150 tonnes de verre usagé par an, mais aussi du carton et des piles, pour un investissement de 9.400 euros, contre 22.800 euros pour un camion non polluant et 13.700 pour un camion classique. Le percheron, également utilisé lors d'animations organisées par la ville, a par ailleurs permis le recrutement de quatre jeunes en difficulté, désormais fonctionnaires territoriaux.

Une trentaine de villes en France emploient un ou plusieurs chevaux pour des tâches allant de la collecte de déchets à l'arrosage des espaces verts, en passant par le débardage ou la sécurité publique avec la mise en place de brigades équestres.

"Le cheval dans la ville, ce n'est pas seulement un service rendu, mais aussi la reconnaissance du sens du vivant dans les villes et le tout béton", a estimé Ambroise Dupont, sénateur du Calvados et président de la Commission cheval au Sénat. Il défend depuis de nombreuses années la réintroduction du cheval dans les villes, notamment comme moyen d'apprentissage du respect de l'autre.

"Je crois beaucoup dans les vertus du cheval dans les milieux difficiles, surtout avec le cheval de trait", a renchéri Luc Duncombe, président de la communauté d'agglomération de Caen, mais aussi vétérinaire.

Au parc de La Tête d'Or à Lyon, un espace qui peut accueillir jusqu'à 50.000 personnes les beaux jours, trois agents municipaux et deux attelages vont d'ici la fin de l'année assurer la propreté du site.

Mais les chevaux auront aussi un rôle pédagogique avec les enfants des quartiers défavorisés. Des expériences en ce sens ont déjà eu lieu, comme l'organisation de moissons à l'ancienne en plein coeur de la ville.

"Cette dimension sociale est impressionnante, car les enfants adhèrent tout de suite au projet", a souligné Sylvie Sagné, directrice des espaces verts à la mairie de Lyon. Selon elle, à plus long terme, le cheval peut aussi être une réponse à la hausse des prix du pétrole.

Les participants au congrès, qui s'est terminé dimanche, ont toutefois fait part de la difficulté de mener à bien leurs projets équins, notamment en raison de réticences des élus, de problèmes liés à la sécurité ou à la formation des agents, dans une filière encore peu structurée.

"Les haras nationaux peuvent dans ce domaine donner une impulsion et remplir une vraie mission sociale et nationale", a jugé Ambroise Dupont, alors qu'Olivier Linot a estimé que la solution viendrait plutôt des industriels et de leurs offres commerciales et techniques.

Source : AFP


Vive le pétrole cher
Pétrole. Habitat
Un cheval qui a de la bouteille
A Trouville, le ramassage du verre a été confié à un solide percheron. Une initiative avant tout pédagogique.
Par Didier Arnaud
LIBERATION.FR : mercredi 15 novembre 2006
Trouville envoyé spécial



Le maire en a sa claque. Les journalistes ne l'appellent que pour lui. Lui : 13 ans, robe grise, costaud. Dans Trouville (Calvados), on ne peut pas le rater. «Festival» est un percheron qui fait presque de l'ombre à sa ville. Tous les matins, il trimballe une carriole chargée de verre dans les rues de Trouville. Il fallait l'imaginer : un cheval pour faire la promo du tri sélectif. Pas n'importe quel cheval. Une force de la nature, un sacré caractère. Ses classes, il les a effectuées chez Eurodisney en tractant un tramway 1900. Il «tirait» trop à gauche. Et le véhicule déraillait, avec les touristes dedans. Cette résistance à l'impérialisme US lui a valu d'être «réformé». Festival n'a coûté que 6 900 euros, infiniment moins cher qu'un camion benne. Il ne carbure pas au diesel, mais il a du mal à marquer les priorités aux ronds-points. Le cheval ne voit pas les feux. Mais il marche, paisible, à la vitesse d'une benne au pas. Festival est un animal. Il a donc des réactions un peu imprévisibles. Il a peur des fanfares, des chariots élévateurs. En cinq ans, il a causé seulement trois «accidents». Et encore. Une fois, il a sauté la rambarde de séparation des voies, remplie de pots de fleurs, le long des quais. Une autre, c'est un tuyau devant la caserne qui lui a fait faire demi-tour : il a arraché un lampadaire. Enfin, la troisième fois n'est pas de sa faute : un journaliste du Pays d'Auge a fait un demi-tour en queue de poisson. La carriole a bousillé son aile.

La vengeance du cocher

La carriole. Equipée de freins, roues pneumatiques. Les employés municipaux, niveau galop 7 d'attelage, y empilent le verre. Il y a Christelle, Pascal et Sébastien. Pour faire cocher, ils tournent. Pour ramasser aussi. C'est assez curieux de les voir, les bras chargés de bouteilles. Du vin, du champagne et du cidre. Festival fait spécialement les restaurants. Il y en a plus de soixante-dix à Trouville. Ce lundi matin, on sort d'un week-end de Pâques. On compte alors jusqu'à 35 000 personnes, contre 5 500 habitants habituellement. Les passants, souvent hilares, ne manquent pas une occasion de faire une blague sur le volume récolté. Des clochards saluent la carriole. Et Pascal commente, imperturbable, en regardant les bouteilles : «Ceux-là, ils auraient bien aimé en descendre au moins une.» Derrière l'attelage, les voitures déboîtent. Sans trop de klaxons. A Trouville, la rue des Bains est la seule problématique. Parfois, quand certains s'énervent derrière, le cocher se venge : «On bouchonne exprès.» Dans l'ensemble, on respecte le cheval : «Ils auraient tendance à nous laisser la priorité», dit Pascal. Parfois, les gens s'approchent, et leurs réactions sont étonnantes. Cette dame a carrément mis sa poussette sous le ventre du cheval. «Comme si elle ne se rendait pas compte qu'il était vrai», dit Sébastien. Festival n'a pas vraiment fait d'émules. Est-ce que c'est par peur de l'accident que d'autres mairies hésitent ? «Cela ennuie les services municipaux d'entretenir des chevaux. Ils pensent que c'est compliqué», dit le secrétaire général. Festival a de l'arthrose. Depuis qu'un ostéo s'en est aperçu, un cob normand alezan, Lasso, le double. «Plus zen», dit Pascal, qui le conduit. Le cheval, c'est aussi la peur – électorale – du crottin sur l'asphalte. Avec le harnachement spécial dont il dispose, cette denrée, récupérée, va servir d'engrais pour les bacs à fleurs. Dans une autre commune pas très éloignée, «ils arrêtent l'opération cheval à chaque changement de maire», dit le conducteur. Dans une grande ville du centre de la France, deux ânes portaient les ballots qui ramassaient les feuilles, mais ils ont abandonné eux aussi. L'employé municipal était souvent traité de «bourricot».

Les restaurateurs jouent le jeu

Alors, Festival, c'est tout bénef ? Il a incité les gens à trier. Diminué le tonnage des ordures ménagères. Et la commune fait des économies. Elle ne sait dire précisément combien. Selon le maire, Christian Cardon : «Pour l'économie d'énergie, c'est marginal.» Pour la «pollution» aussi. Les Trouvillais sont comme les autres, pas très citoyens, ils jettent la bouteille avec le reste. La mairie l'assure : les enfants poussent les parents à préparer les bouteilles pour «leur» cheval et les restaurateurs jouent le jeu. La première année, 37 tonnes (en 2001), puis 50 en 2002, et 55 pour 2005 (sur les 123 tonnes récoltées annuellement). Les cochers viennent d'être titularisés. Trouville a lancé un congrès des municipalités qui utilisent des chevaux territoriaux. «Cela marche dans les communes qui ne sont pas trop rurales, ou qui sont fréquentées par des urbains», explique Christian Cardon. Pour les plus vieux, c'est un peu une régression.

Le cheval dans la ville: une solution économique, écologique et sociale


Posté par Jean-Marie Griess, le Dimanche 23 Octobre 2005 - 17:35.

Réintroduire le cheval en ville pour réaliser certaines tâches municipales de façon économique et écologique ou encore favoriser l'intégration sociale, c'est ce qu'ont défendu ce week-end à Caen les participants au 3e congrès des chevaux territoriaux.

"Le cheval est plus économique, avant d'être plus écologique, plus motivant et plus valorisant pour les agents et pour l'image de la ville, que tout autre moyen de transport", a expliqué Olivier Linot, directeur général à la mairie de Trouville-sur-Mer. Cette petite cité balnéaire de la côte normande utilise depuis cinq ans un percheron pour collecter les déchets.

Le cheval permet de ramasser près de 150 tonnes de verre usagé par an, mais aussi du carton et des piles, pour un investissement de 9.400 euros, contre 22.800 euros pour un camion non polluant et 13.700 pour un camion classique.

Le percheron, également utilisé lors d'animations organisées par la ville, a par ailleurs permis le recrutement de quatre jeunes en difficulté, désormais fonctionnaires territoriaux.

Une trentaine de villes en France emploient un ou plusieurs chevaux pour des tâches allant de la collecte de déchets à l'arrosage des espaces verts, en passant par le débardage ou la sécurité publique avec la mise en place de brigades équestres.

"Le cheval dans la ville, ce n'est pas seulement un service rendu, mais aussi la reconnaissance du sens du vivant dans les villes et le tout béton", a estimé Ambroise Dupont, sénateur du Calvados et président de la Commission cheval au Sénat. Il défend depuis de nombreuses années la réintroduction du cheval dans les villes, notamment comme moyen d'apprentissage du respect de l'autre.

"Je crois beaucoup dans les vertus du cheval dans les milieux difficiles, surtout avec le cheval de trait", a renchéri Luc Duncombe, président de la communauté d'agglomération de Caen, mais aussi vétérinaire.

Au parc de La Tête d'Or à Lyon, un espace qui peut accueillir jusqu'à 50.000 personnes les beaux jours, trois agents municipaux et deux attelages vont d'ici la fin de l'année assurer la propreté du site.

Mais les chevaux auront aussi un rôle pédagogique avec les enfants des quartiers défavorisés. Des expériences en ce sens ont déjà eu lieu, comme l'organisation de moissons à l'ancienne en plein coeur de la ville.

"Cette dimension sociale est impressionnante, car les enfants adhèrent tout de suite au projet", a souligné Sylvie Sagné, directrice des espaces verts à la mairie de Lyon. Selon elle, à plus long terme, le cheval peut aussi être une réponse à la hausse des prix du pétrole.

Les participants au congrès, qui s'est terminé dimanche, ont toutefois fait part de la difficulté de mener à bien leurs projets équins, notamment en raison de réticences des élus, de problèmes liés à la sécurité ou à la formation des agents, dans une filière encore peu structurée.

"Les haras nationaux peuvent dans ce domaine donner une impulsion et remplir une vraie mission sociale et nationale", a jugé Ambroise Dupont, alors qu'Olivier Linot a estimé que la solution viendrait plutôt des industriels et de leurs offres commerciales et techniques.


dimanche 26 novembre 2006

Véhicule hippomobile de l'armée Allemande

Trouvé sur un site de passionnés de véhicules militaires, une photo prise lors du "War and Peace Show de Beltring (england) en 2000" un joli véhicule hippomobile de l'armée Allemande (ou Suisse).

Remarquez le centre de gravité surbaissé, les accessoires accrochés aux flancs, même un timon de rechange...

Cliquer sur les photos pour les voir en plus grand...

samedi 25 novembre 2006

Le matériel Hippotese vu dans Sabots N°15

Dans le dernier numéro de Sabots (N°15), il y a un article sur le matériel fabriqué par Hippotese et présenté à la Route des Vins et du Comté 2006 de Levier (25).

Merci à Gepeto pour le scan...

Mais rendons à César, ce qui est à César, le brise fougère et le trinqueballe présentés sont fabriqués par Doug Joiner (notre sympathique Horselogger'friend) et la grue hydraulique est de fabrication suédoise...

vendredi 24 novembre 2006

Des véhicules hippomobiles Tchèques

J'ai trouvé ça sur le web, je crois que c'était le site d'un musée tchèque...

J'ai pas retrouvé où... (si quelqu'un retrouve...)
Les véhicules sont très intéressants et originaux...


J'aime bien la capote ouvrante de ce plateau...


Elle est pas super cette benne basculante avec remise en place par treuil à chaîne ?


Elle est pas trognon cette ambulance ?


Et cette voiture de marchand ? Ca donne des idées pour une future calèche...


Remarquez la simplicité du poste de conduite, 2 planches et quelques chaînes...

dimanche 19 novembre 2006

tramway sur l'ile de Man (Grande Bretagne)

En fouillant sur le web à la recherche de charriots hippomobiles, je suis tombé sur ces 4 photos de tramways modernes prises sur l'ile de Man (GB).

Si vous allez vous promener de ce côté là, il faudra me rapporter quelques photos...

Celles-ci sont tirées de http://www.iomguide.com/, merci à eux...

Personnellement, je préfère le dernier, plus sympa, moins touristique... Une idée à reprendre ?

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