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Le premier sillon est toujours le plus délicat |
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Après
avoir posé les jalons d'alignement (quand on démarre au
milieu d'un prés) |
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Il faut
guider ses chevaux à la tête et régler au minimum
sa charrue |
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r
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Une
fois le premier sillon effectué, on pourra augmenter progressivement
la profondeur du labour |
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Au deuxième
sillon, les chevaux sont justes tenus à la tête pour rester
dans le sillon, on pourra bientôt les mener seulement aux guides. |
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Le labour proprement dit peut commencer, il doit se faire
dans le calme, à pas compté, ni trop vite ni trop doucement. |
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Les
chevaux bien menés prennent vite leur rythme de travail que seuls
les retournements en bout de champ viennent ponctuer. |
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Le réglage de la charrue et du coutre sont déterminant.
Ici un réglage un peu trop profond laisse apparaître le
gazon. Il faut savoir surveiller son travail en même temps que
ses chevaux...
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On en profite pour faire quelques mesures au dynamomètre.
En labour, pour un effort moyen de 250 kg, les coups de collier au
démarrage monte à 350 kg.
En débardage, pour le même effort moyen, les coups de
collier montent fréquement à 500 kg !
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Ces charrues Garnier (fabriquées autrefois en Franche Comté)
dispose d'un système de réglage à retournement
automatique breveté de tout premier ordre.
Ce sont des modèles de charrues à préserver absolument
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